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Bonjour,
RépondreSupprimerJe suis en plein dans le sujet, mais ma vision est vaste, pas plus que la vôtre j'imagine, mais elle traite de certains nombre de points.
Vous avez parlez de ce qui me semble être la perception, dans votre point de vue.
J'ai, en regardant un film eu un flash sur ce qui sera mes prochains écrits, ce flash donne des notes intitulées : la vie comme un film.
Ce n'est pas anodin, car j'ai constaté qu'en regardant un film, à la sortie du cinéma nous avons souvent l'impression que tout est possible, même la nuit ça nous fait ça parfois, quand nous sommes presque euphorique et à qui ça n'est pas arrivé, la nuit, d'avoir un projet fou, des envies folles et qui s'estompent le lendemain matin.
On pourrait se dire que ça vient de la lune, que c'est l'ambiance nocturne etc, mais je ne le crois pas, d'autant que la sensation " cinéma " je l'ai constatée même en plein jour.
Alors, il s'agit du fait que c'est dans le noir... pas tout à fait mais presque. En fait, la différence entre le moment où nous nous disons ça et les moments où nous le disons pas, c'est la solitude. Et oui, cette solitude ou sensation d'être seul face à ses rêves et ses envies, donc, tout devient d'un coup possible.
Pour aller plus loin, je dirais que quand nous regardons des films, nous nous identifions souvent aux personnages parce qu'ils ont la vie rêvé.
Ces personnages sont dans un mode de pensées qui est très bonne, qui n'est plus aujourd'hui accessible à tous, parce que nous avons été éduqués dans une forme de pensée en trois temps, ce qui est bon pour le minimum qu'il nous faille pour vivre ( administratif, emploie ( et encore ), nourriture etc ) mais nous avons, je crois, un souci dans ces trois temps, qui sont transférés dans toutes notre vie et toutes nos actions, c'est là le néfaste de la chose.
Quels sont ces trois temps ?
Ces trois temps sont :
J'ai été, je suis et je deviendrais.
Déjà, pour commencer sur ce point, je dirais qu'il faille commencer par corriger notre perception de ces trois temps, ce que propose l'histoire de l'éléphant enchaîne ( allez voir sur le net vous verrez .
Le passé fait se qu'on croit être et ce qu'on croit être plus ce qu'on a été fait ce qu'on croit qu'on va devenir et ce qu'on va devenir. N'est-ce pas là mauvais ?
C'est pour ça qu'il faille déjà travailler là dessus, et je ne vais pas parler de ce que je pense bon qu'il faille faire, par soucis de concision mais j'ai déjà ma petite idée que je développerais pour mon compte tout d'abord et ensuite que je dévoilerais au grand jour.
Dans les films, les personnages ont la perception quasi parfaite, enfin parfaite pour nous, selon ceux à qui ont s'identifie.
Ils nous donnent une part de vérité que personne semble comprendre ou pas grand monde.
Ces personnages, jouant un rôle n'ont pas de passé, n'ont pas peur du devenir et donc, leur présent se trouve sublimer, une pensée héroïque, et je crois que c'est surtout cette pensée incarnée dans un personnage qui nous fascine au cinéma et nous donne envie d'être comme ce personnage, mais nous le pouvons plus ou moins, du moins à échelle suffisante afin de vie pleinement notre vie.
Le mur c'est notre perception pour moi, et les portent c'est ce qu'on fait pour changer ces perceptions.
Bien à vous.
Syou.