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30 avril 2010

La peur de soi ?... ce qu'il y a réellement au fond

Lorsque certaines personnes commencent à s'initier au développement personnel et à l'auto-hypnose, elles butent sur une difficulté : l'angoisse de descendre en soi-même.

Pour entrer dans une transe profonde, il faut se laisser descendre dans les profondeurs de son esprit...

Et c'est là que le bât blesse.

A l'idée d'entrer en eux-même aussi profondément, beaucoup de gens sont envahis par le stress... presque la panique.

Pourquoi ?

Parce qu'ils ont peur de ce qu'ils risquent de découvrir.

Pour démystifier cette crainte, faisons sa généalogie. Tout a commencé lorsqu'ils ont été exposé aux idées de Freud pour la première fois (lecture personnelle ou cours de philosophie au lycée). Complexe d'œdipe : qui a envie de découvrir qu'il est un monstre, un parricide incestueux ?... Personne.

D'où cette crainte... cette peur de soi.

Freud a réussi à nous rendre étranger à nous-mêmes. Je suppose qu'il doit bien ricaner dans sa tombe...

Alors descendez avec moi au cœur de votre être, au plus profond de votre être. Regardez : il n'y a pas de sang, il n'y a pas de meurtre, il n'y a pas d'inceste. Il n'y a pas de vilains poissons nocturnes. Non, ce qu'il y a, c'est tout simplement un jardin... un jardin secret. Le vôtre. La lumière est estivale et des tourterelles roucoulent. Ici, vous êtes chez vous. Charbonnier est maître chez soi : vous êtes le maître de votre intérieur, le souverain de votre moi. Freud a tenté de salir ce sanctuaire, il n'y est pas arrivé parce que personne n'y a accès - sauf vous. Votre jardin vous appartient ; personne ne peut vous en priver, personne ne peut s'y installer sans votre autorisation explicite et consciente.

La crainte de vous-mêmes n'est que la conséquence d'une illusion. Traverser l'illusion, et la crainte s'efface. Vous étiez du mauvais côté du miroir : traversez-le pour revenir dans la réalité. Vous n'êtes pas un psychopathe, vous n'êtes pas le reflet du docteur Sigmund Freud. Il aurait bien voulu que vous lui teniez compagnie... Il aurait bien voulu que vous suiviez ses traces, que vous culpabilisiez pour un crime imaginaire jusqu'à, peut-être, le commettre.

Mais vous êtes libre et maître de vous-même. Votre "inconscient" n'est qu'un mythe, et votre jardin, lumineux.

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