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12 juillet 2014

Le pouvoir de la volonté : une seule bonne décision peut changer radicalement votre vie pour le mieux

Les auteurs de développement personnel (dont moi) proposent une multitude d'outils dont certains sont efficaces et d'autres moins. Ce qui peut parfois nous donner l'illusion que ce qui compte, ce sont les outils.
Mais à quoi sert un outil sans ouvrier ?
A rien.

Le facteur le plus déterminant dans votre vie, celui qui fait la différence entre le bonheur et la dépression, c'est votre volonté - autrement dit, vos décisions.

Prenez de bonnes décisions, et vous vivrez une vie heureuse, féconde, satisfaisante. ça prendra peut-être du temps, mais c'est à ça que vous aboutirez : à la plénitude du bonheur.
Prenez de mauvaises décisions, et vous vivrez une vie étroite, étouffante, affreuse. ça prendra peut-être du temps, mais c'est à ça que vous aboutirez : au vide du désespoir.

Nous avons trop tendance à nous focaliser sur les facteurs extérieurs, ceux sur lesquels on ne peut rien. Mais notre bonheur (ou malheur), à long terme, n'est pas déterminé par eux, mais par nos choix.

Parfois, c'est évident...

On est affreusement déprimé, on prend une bonne décision, et les nuages se dissipent en quelques secondes à peine !

Si vous n'êtes pas d'accord, c'est peut-être que vous ne voyez pas trop ce qu'il faut entendre par "bonne décision". Peut-être que vous n'en avez pas pris assez souvent pour les identifier facilement.

Les bonnes décisions ont au moins deux caractéristiques :

1/ Elles sont réalistes ;
2/ Elles mettent de l'ordre.

Réalistes, c'est-à-dire que vous ne décidez pas de devenir champion olympique en deux semaines.
Elles mettent de l'ordre, c'est-à-dire que vous décidez de mettre en tête de vos priorités ce qui, logiquement, devrait y être.

3 commentaires:

  1. Bonjour Lucia, je suis "tombée" par hasard sur votre blog et j'ai lu les premières pages de votre livre que vous proposez gratuitement. J'ai beaucoup aimé jusqu'à ce que vous parliez des anti-dépresseurs. Je trouve très dangereux de conseiller de se passer d'AD. Ce sont des traitements loin d'être parfaits, avec des effets secondaires parfois très lourds mais il y en a un qu'ils n'ont pas: la mort. Car ils sauvent beaucoup de gens du suicide et je pense que c'est déjà énorme. Vous parlez aussi de la schizophrénie et la mettez dans le même "sac" en sous-entendant que ce n'est pas une maladie. Pour avoir une sœur atteinte de cette maladie, je peux vous dire que sans médicament, elle se serait supprimée depuis longtemps tant la souffrance est indicible. De plus les symptômes sont incompatibles avec une vie sociale. Peut être avez-vous des exemples de schizophrènes traités autrement, ça m'intéresse. Et puis, désolée, mais la religion me parait faire et avoir fait autant de dégâts que la drogue, l'alcool ou les médicaments, au fil de l'histoire. Vous me rétorquerez que c'est ce que les hommes en ont fait parfois qui n'est pas bien, mais la religion EST les hommes, sans eux, pas de religion. Les animaux, les plantes s'en passent très bien. Salutations à vous. Nadia

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  2. Commentaire pertinent et partagé avec Anonyme 1er nov 2014
    Anna

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  3. "les outils qui permettent de prendre ou reprendre le contrôle sur son existence."
    A t on vraiment eu ne serait ce qu'une journée le contrôle sur notre existance??? cette illusoire liberté? Soyons lucides, nous sommes des esclaves d'un système ne venez pas faire croire le contraire parce que vous vous conditionnez vous même par vos croyances à vous imaginer être libre??? Désolée pour le ton mais ça me révolte de lire des faussetés de la sorte. La seule liberté que je vois c'est de devenir contre nature et se laisser mourir pour ne plus supporter une telle ignominie mais voilà je n'ai pas cette lâcheté alors j'accueuille la souffrance comme je peux j'ai pas le choix ma vie a été un calvaire sans fin. bien à vous

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